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mercredi 25 juillet 2012

Ne pas stagner

Comme un changement n'arrive jamais seul, après l'installation dans notre fermette, c'est au tour de mon travail actuel de suivre lui aussi une évolution et un changement. On est comme ça dans la famille : on ne s'endort jamais sur nos lauriers, et à subir les événements. On agit, étant, pour reprendre un terme familier des CV : on est pro-actifs. Et on cherche toujours à améliorer les choses ou à rebondir ou à anticiper.
Pour moi c'est chose faite puisqu'à partir de lundi, je vais travailler pour la même boîte d'ingénierie qu'Isa (pur hasard) mais dans un autre service. Ce qui me permettra d'allier mon expérience d'archiviste avec mon intérêt pour l'architecture et l'ingénierie.
 Je quitte en effet le consortium où je travaillais depuis 2 ans pour quelque chose de plus valorisant, de mieux payé, et plus de vacances (3 semaines) et de meilleures cotisations retraite. Oui, ici pas question de partir à 60 ans.
Veinard je suis, car la norne au Québec c'est plutôt 2 semaines de congés. Alors en France ne vous plaignez pas avec vos 5 semaines de congés payés. Soit-dit en passant avec le plan drastique que la bande à Hollande vous prépare en septembre, faites gaffe car ça va brasser.
Comme quoi à 50 ans passés, ici au Canada, on peut changer de travail et être reconnu comme le meilleur candidat pour un poste. Question de compétences, de motivations et de remise en question.
Ne jamais prendre un poste pour acquis et penser que l'on est irremplaçable. Personne ne l'est.
Et puis lorsqu'une porte s'ouvre, il faut s'y engoufrer dare-dare.

Tout le processus de recrutement s'est fait en moins de 2 semaines : Envoi de cv, réponse, entretiens téléphoniques, entrevue, références et verdict final.
Dailleurs, la veille au soir, dans le ciel j'ai vu une étoile filante ...
De plus, là où je bosse, ça change, le budget se réduit et des postes vont sauter. Alors vaut mieux prendre les devant et quitter le navire. Ou alors de se faire virer à sec. Et puis j'ai horreur de l'incertitude, de savoir dans quelle direction on va, comment va se dérouler le contrat, quelles sont tes tâches.
Voilà, en tous les cas, on ne s'ennuie pas chez nous !

Le Samouraï

mercredi 18 juillet 2012

Notre petit paradis

Le bel érable, bon pour le service (sirop !)

La fermette, simple, bien intégrée dans la nature

Vue de l'entrée, depuis le chemin Pleasant Valley Sud

Une partie du terrain, devant, avec le puit

le puit

La multitude des essences d'arbres

Vue sur le côté

Les barrières en bois typiques de la région











Un pin majestueux. Au loin , à quelques kilomètres, la frontière avec les USA

La "cour arrière" sans voisins, sans emmerdeurs ou râleurs : du pré !

Vue sur la partie sauvage de la propriété : on se croirait dans un parc naturel

vendredi 13 juillet 2012

Bienvenue à Pleasant Valley

Installés depuis tout juste deux semaines à Pleasant Valley, nous découvrons les joies de la vie à la campagne, dans des paysages qui nous rappellent ma forêt de Fontainebleau natale (pins et bouleaux) et, pour le Samouraï, la Savoie de son enfance (montagnes des Adirondacks toutes proches).

À seulement 45 minutes de Montréal (bon, d'accord : une heure de trajet en tout pour aller travailler) nous avons la tranquillité et la paix d'esprit. Notre maison n'est ni un musée ni une modèle digne des magazines de décoration mais, dans son bric-à-brac désorganisé, elle nous ressemble. Et qu'importe ! Nous ferons les rénovations au fur et à mesure ...